Quitter la ville pour la banlieue : une tendance là pour rester?

Tous les médias en parlent. De plus en plus de citadins délaissent Montréal pour s’installer en banlieue, ou même en pleine campagne. Ce phénomène s’observe de plus en plus, surtout depuis un an, avec l’arrivée de la pandémie de COVID-19 et l’intégration massive du télétravail à notre quotidien. Effet de mode ou changement durable? Une chose est certaine, aujourd’hui, la banlieue reprend ses lettres de noblesse!

Franchir le pas (et les ponts) pour vivre mieux et à moindre coût, voilà une décision que plusieurs milliers de Québécois ont prise au cours de la dernière année. Avec l’arrivée du télétravail qui permet d’éviter le trafic au quotidien, la banlieue est de nouveau dans l’air du temps, et avec raison! Aujourd’hui, on délaisse les micro-espaces au profit d’une superficie plus généreuse, les balcons au profit d’une cour arrière et l’effervescence urbaine au profit d’un meilleur accès à la nature. Par ailleurs, une étude récente de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) illustre bien cet exode vers le 450, boudée pendant de nombreuses années par les Montréalais. Le phénomène a pris une ampleur considérable en 2020, surtout au deuxième et au troisième trimestre*.

Les avantages de la banlieue en 2021

La banlieue, plus abordable

L’écart entre le prix médian d’une copropriété sur l’île de Montréal et dans certains secteurs de la banlieue peut aller jusqu’à 75%*. Pour les familles, la banlieue permet souvent l’acquisition d’une maison unifamiliale, ce qui serait impossible à Montréal. Selon la SCHL, de 2015 à 2019, la proportion annuelle de maisons unifamiliales achetées en banlieue par des ménages provenant de l’île de Montréal oscillait autour de 22 à 24 %. Cette proportion atteignait près de 29 % en 2020. À partir du mois de juillet 2020, cette proportion atteignait même 31%!

La banlieue, plus spacieuse

En ville le prix d’une propriété au pied carré est beaucoup plus cher qu’en banlieue. Ainsi, choisir de quitter la métropole signifie souvent l’accès à un condo ou une maison plus grande. Avec le confinement, ce besoin d’espace devient prépondérant dans la décision des acheteurs, qui cherchent à aménager un bureau à domicile, ou tout simplement à profiter d’une superficie plus vaste.

La banlieue, plus nature

En ville, il y a certes le mont Royal et les parcs, mais avec la pandémie, les citadins ont développé le besoin d’être plus proche de la nature et des grands espaces. Plus saine, la banlieue offre cette proximité, en plus d’afficher une population moins dense qu’en ville. Sans compter qu’en s’éloignant de la ville, on s’éloigne des industries. L’air est donc moins pollué.

La banlieue sans le trafic

Avec la pandémie, le télétravail est apparu dans le quotidien de beaucoup de travailleurs. Il est certain que ce changement laissera de nouvelles habitudes qui perdureront pour plusieurs. Ainsi, aujourd’hui, habiter la banlieue ne signifie plus de devoir passer des heures bloquer dans le trafic matin et soir. Moins de déplacement, moins d’essence, plus de temps pour soi et plus d’argent dans ses poches. On le sait, le trafic était, jusqu’à maintenant, le principal élément pour lequel les citadins demeuraient en ville.

La banlieue et la vie sociale

En ville, nous sommes anonymes dans la foule. Souvent, on ne connaît même pas ses voisins, ou si peu. En banlieue, la vie de communauté est plus inclusive. On sympathise plus facilement, on connaît son voisinage, on s’invite pour un BBQ l’été, on fraternise.

 

Construction Voyer : présente en banlieue

Depuis 1973, Construction Voyer réalise des projets immobiliers durables, innovants et de qualité supérieure dans Lanaudière, les Laurentides, le Suroît ainsi qu’à Terrebonne, Laval, Montréal et plus encore. Réputée à la fois pour ses maisons unifamiliales et pour ses projets de condos, l’entreprise assure une qualité de construction inégalée dans l’industrie en plus d’offrir une garantie de 10 ans sur toutes les déficiences majeures pouvant survenir.

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*Source : Le marché sous la loupe, RMR de Montréal, mars 2021
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